Vous l’aurez compris, j’accorde la plus grande importance possible au respect (de soi, des autres et de la Terre), même dans mes choix professionnels.

Concrètement, être un-e coach respectueux-se de soi, des autres et de la planète, c’est adopter une vision alignée à ses valeurs, une vision qui lie la santé mentale à la société dans laquelle on vit et au rapport qu’on entretient à la nature : comment se sentir serein-e dans un monde qui brûle et plus encore, qu’on laisse brûler ? C’est accompagner le plus grand nombre de stressé-es et d’anxieux-ses possibles, mais aussi les personnes :
– qui souffrent d’éco-anxiété ou de peur du futur,
– désireuses de s’engager sur le plan social, politique ou environnemental et qui n’osent pas, pour X raisons (par exemple, la peur de décevoir, le regard des autres, la culpabilité…)
– qui militent au point d’en oublier leur santé mentale, sans laquelle il n’est pourtant pas possible de continuer à lutter.
Parce que la première des valeurs fondamentales est chez moi le respect de l’autre mais aussi de soi. L’empathie, l’altruisme, la tolérance, l’amour, la générosité, l’humilité et l’appréciation de la beauté sont des qualités et des forces que j’admire et que je m’efforce d’appliquer dans ma vie quotidienne. C’est la raison pour laquelle j’ai tenu à exercer un métier tourné vers l’humain. Ce que je préfère : voir les yeux de mes client-es briller et leur cœur pétiller à la fin d’une séance.

Respecter soi-même, c’est aussi oser dire non, même à ses proches quand cela est nécessaire, écouter son corps et son cœur, se parler avec bienveillance, prendre du temps pour soi ou encore, oser sortir de sa zone de confort pour vivre ses rêves. C’est pourquoi le dépassement de soi est bien ma seconde valeur fondamentale, et c’est la 2e raison qui m’a poussée à devenir coach de vie.
Il est tentant de ne rien changer et de passer son temps à rêver. Il est bien plus difficile d’affronter ses peurs pour enfin vivre ses rêves, quels qu’ils soient, individuels ou collectifs.